Histoiredu 8mai 1945
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Histoiredu 8mai 1945
ce jour du 8 mai ;de grandes manifestations furent organisées par le P.P.A à travers tout la pays, l'Algérie revendicatrice défila en scandant dignement : ''A bas le colonialisme ! " "vive l'Algérie indépendante !" "libérez messali" liberez les détenus politiques
Al'exemple du 1 mai ; les manifestations urentun caractère pacifique, et partout ou les forces de police ne s'interposaient pas tout se déroula dans l'ordre et le calme absolu
puis, ce fut la provocation , l'éclatement :c'est à la suite de l'intervention des policiers et des soldats dans les villes de garnisons que les bagarres commencèrent .avoua henri benzet .le colonat animé par la haine et la violence ; donna libre cours à ses instincts les plus bas les massacres atteignirent le paroxysme de la tragédie dans le constantinois
F.abbas témoigna de sétif , sa ville :le 8 mai 1945 est un mardi , c'est le marché hebdomadaire .la ville de sétif abrite ce jour là ,entre cinq et quinze mille fellahs et commerçant venus des régions les plus éloignées ...".Dans cette cité , le cortège parfaitement organisé et autorisé par les autorités à son départ de la mosquée , parvint sans incident jusqu'au niveau du café de france . Là,aux alentours des cars chargés de lpoliciers étaient postés et prets à intervenir. L'inspecteur laffont (habillé en civile )
assis à la terrasse de l'établissement, se leva bondit et tenta d'arracher la pancarte portant l'inscription :a bas l'impérialisme ! vive la victoire des alliés! le porteur de la pancarte résista , mais l'inspecteur lui tira trois balles de pistolet dans le ventre .les policiers qui encadraient le cortège se regroupèrent rapidement face aux manifestants.Alorsle scénariose déroula furieusement, et la fusillade commença. L'émeute gagna sétif .la loi martiale fut proclamée; nul ne put circuler ;s'il n'étaient porteur d'unbrassard délivré par les autorités. tout autre Algérien était abattu, impitoyablement . la répression s'étendit à la périphérie: d'abordla petit centre de périgot -ville , puis chevreuil. les troupes frnçaises quadrillèrent la région. le ratissage s'opéra sauvagement et sans frein .c'etait l'hystérie . tout se mela et se confondit. le sang appela le sang;tout indigène,citadin ou rural, loyaliste ou oumilitant ,était considéré comme une victime qu'il fallait abattre sans pitié.
A chevreuil , les légionnaires du colonel bourdillat se conduisirent come en pays conquis. c'était le droit au pillage , aux viols,aux exécutions sommaires, sous le vocable éloquent d'opération de nettoyage. des expéditions punitives furent organisées.On tirait sur tout ,partout: fellahs femmes enfants ,vieillards ; tous tombèrent innocemment . les morts s'ajoutèrent aux morts . sur les routes , dans les champs ,au fond des vallées , ce ne furent qu'incendies et charnies sous le ciel claire de mai
Al'exemple du 1 mai ; les manifestations urentun caractère pacifique, et partout ou les forces de police ne s'interposaient pas tout se déroula dans l'ordre et le calme absolu
puis, ce fut la provocation , l'éclatement :c'est à la suite de l'intervention des policiers et des soldats dans les villes de garnisons que les bagarres commencèrent .avoua henri benzet .le colonat animé par la haine et la violence ; donna libre cours à ses instincts les plus bas les massacres atteignirent le paroxysme de la tragédie dans le constantinois
F.abbas témoigna de sétif , sa ville :le 8 mai 1945 est un mardi , c'est le marché hebdomadaire .la ville de sétif abrite ce jour là ,entre cinq et quinze mille fellahs et commerçant venus des régions les plus éloignées ...".Dans cette cité , le cortège parfaitement organisé et autorisé par les autorités à son départ de la mosquée , parvint sans incident jusqu'au niveau du café de france . Là,aux alentours des cars chargés de lpoliciers étaient postés et prets à intervenir. L'inspecteur laffont (habillé en civile )
assis à la terrasse de l'établissement, se leva bondit et tenta d'arracher la pancarte portant l'inscription :a bas l'impérialisme ! vive la victoire des alliés! le porteur de la pancarte résista , mais l'inspecteur lui tira trois balles de pistolet dans le ventre .les policiers qui encadraient le cortège se regroupèrent rapidement face aux manifestants.Alorsle scénariose déroula furieusement, et la fusillade commença. L'émeute gagna sétif .la loi martiale fut proclamée; nul ne put circuler ;s'il n'étaient porteur d'unbrassard délivré par les autorités. tout autre Algérien était abattu, impitoyablement . la répression s'étendit à la périphérie: d'abordla petit centre de périgot -ville , puis chevreuil. les troupes frnçaises quadrillèrent la région. le ratissage s'opéra sauvagement et sans frein .c'etait l'hystérie . tout se mela et se confondit. le sang appela le sang;tout indigène,citadin ou rural, loyaliste ou oumilitant ,était considéré comme une victime qu'il fallait abattre sans pitié.
A chevreuil , les légionnaires du colonel bourdillat se conduisirent come en pays conquis. c'était le droit au pillage , aux viols,aux exécutions sommaires, sous le vocable éloquent d'opération de nettoyage. des expéditions punitives furent organisées.On tirait sur tout ,partout: fellahs femmes enfants ,vieillards ; tous tombèrent innocemment . les morts s'ajoutèrent aux morts . sur les routes , dans les champs ,au fond des vallées , ce ne furent qu'incendies et charnies sous le ciel claire de mai
emily- عضو جديد
- عدد الرسائل : 8
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تاريخ التسجيل : 26/05/2011
رد: Histoiredu 8mai 1945
merci pour cette effort qu'il raconte un seul jour de long et grand masacre française
khadidja ghamouri- مشرف
- عدد الرسائل : 62
الموقع : صفحات الشهداء الابرار
نقاط : 114
تاريخ التسجيل : 13/01/2011
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